Avis aux écrivains,poètes, citeurs en herbe!!!!C'est ici

J'ouvre ce topic afin que vous puissiez exposé vos plus beaux textes qu'il soit de vous et d'une autre personne, mettez-les. Poésies, paragraphe d'une de vos histoires, citations ou autre,....sont les bienvenues dans ce topic!!!!(décidément ca existe modo de l'écriture,kaka??lol)

Les textes seront mis en couleur ou entre guillement après une petite présentation du genre "voilà un extrait de ma story" ou encore "un poème que j'ai fait" "citation philosofique by me"lol, enfin bon vous avez compris...

Voilà je commence avec un autre extrait bon il est assez long mais c'est pour que vous compreniez un peu le contexte:

Arrivé là, je suis dans un quartier chic, je reconnais cet endroit, ces maisons, mêmes les noms inscrits sur les boîtes à lettre me rappelle certains moment de mon enfance...Une vieille femme qui fermait ses volets me dévisagea: elle m'a reconnu, elle me fait un grand signe de la main. C'est Mme.Firemile, c'était ma prof de français en au CP. Les larmes me viennent lorsque je lui rend son salut, tant d'anné sont passé et elle ne m'a pas oublié contrairement au mien. Vous l'aurez compris , je suis chez moi. Je sonne à la porte de ce qui était autrefois ma maison, avant mes 17 ans.

-Oui.

C'est elle, cette femme, cette femme qui j'aurais du aimé plus que tout, avec qui j'aurais passer les fêtes, ce soir là, c'est elle , celle qui m'a plongée dans une haine infamme, celle qui m'a fait plongé dans une dépression qui m'a détruite durant 1 an, qui m'a rongé jusqu'aux nerfs qui me permettent de penser à la souffrance que jai du endurer. C'est elle, ma mère.

"Mere": Leïla!!dit-elle en s'avance.

Alors qu'elle ouvre ses bras vers moi, je m'éloigne, histoire qu'elle comprenne mon rejet. Elle me dévisage longuement, elle devait croire que j'étais venu pour lui pardonner. Ce qu'elle est naïve, tout comme je l'ai été autrefois. oui, j'ai été naïve et elle en a abusé pour me prendre mon petit-ami, mais maintenant je ne le suis plus. Je sors de mon sac une envellope chiffoné:
Leïla: Je suis venue te la rendre...
Mon bras tremble tellement que je suis nerveuse une partie de moi voudrait lui cracher à la figure, lui faire ressentir tout le mal que j'ai vécu, la frappé, la faire signer, et l'autre partie n'est tout autre que la raison qui me permet de simplement tendre mon bras et tenir cette lettre:

Mere: Entre Leïla il faut qu'on parl...

Leïla: Non!!!

Elle se fige pendant un moment c'est là que j'aperçoit Kateline derrière elle. Elle avait entendu mon cri et s'était, empressé de voir ce qui se passait à l'entrée de la maison, du moins j'imagine que 'est pour ça. Je lui lance un regard désapprobateur.

Mere: leïla, arrête tu te fais souffrir pour rien, tout peux s'arranger!!

Leïla: NON!!! Mais tu ne comprends dont rien, dis-je en jetant sur le paillasson la lettre.

Je reprend:

Leïla: Je ne veux pas savoir ce que tu as écrit dans cette lettre, car j'essaie de t'oublier, j'essaie d'oublier que j'ai eu une mère, j'essaie de me persuader que je peux vivre sans mon passé avec toi!!! Ne comprends-tu pas que j'ai besoin de t'oublier pour vivre!!!Alors arrête, tu m'as déjà tout prix, alors je t'en suppli, si tu es une mère où du moins si tu en portes le nom, laisse moi vivre, ne m'appelle plus, je veux oublier le son de ta voix, je veux oublier l'image que j'ai de toi nue contre le corps de mon ancien petit-ami...Laisse-moi vivre, mais que veux-tu enfin???
Que je te prévienne plus tard lorsque tu sera grand-mère, que je te prévienne pour mon mariage: et bien dans tous les cas, tu ne serais pas là pour la naissance de mon enfant et tu ne seras pas le bienvenue lors de la cérémonie, tu n'aurais que des mots pour décrire ce que je vis mais aucune image de joie de moi...Tu ne fais plus parti de ma vie

Elle pleure. J'avais réussi, elle souffre. Elle a du mal à respirer tellement je l'ai blessé psychologiquement. Je savoure ce moment, pensez ce que vous voulez, je m'en fous, je savoure, je fait preuve d'une cruauté jamais faite auparavant, j'en avais rêvé et j'étais satisfaite.

Je lui tourne le dos et lui dit:
Leïla: Tout arranger, tu dis??? On aurait pu tout arranger si: je n'avais pas crier de douleur durant des nuits, si je n'avais pas érrer dans les rues de Manhattan si je n'avais pas fait de dépression, si j'avais penser à ta pardonner, maintenant il est trop tard...

Je descend les 3 marches et me dirige vers l'arrêt de bus, Kateline me cours apprès et finalement me rejoint à l'arrêt. Je m tourne vers elle:

Leïla: Vas-y, si tu en as tellement envie fais-le.

BAM!!!Elle me fout une gifle tellement forte que ma joue en reste toute engourdie: je ne riposte pas ca ne sert à rien, elle a fait ça pour que j'ai des remors mais je n'en ai aucun, la douleur n'agit car je suis tellement ivre de bohneur que je ne ressens pas ma joue. Tout n'est que détail à mes yeux....

J'avais réussi...

Quand pensez-vous??

PS: je n'ai pas eu le temps de corriger les fautes désolé.

Eh ben c'est gai!

Mais j'aime bien, tu rends bien compte des sentiment et c'est super!
Qui c'est Kateline par rapport à Leila?

(c'est vrai que, bonjour les fautes t'orthographe)

(Et oui, j'avais prévenu pour les fautes!!lol)

Merci pour ta remarque sur les sentiments que dégage mon texte...

Ensuite, tu as vraiment un don pour la description:as-tu étudier ce milieu? ou est-ce simplement une sujet dont tu connais les traditions et qui te passionne???

En tout le language soutenu est très bien fait, et l'histoire en elle-meme est très bien.

Euh, à vrai dire c'est un mélange de connaissances générales et d'instinct. 1/4 de connaissances et 3/4 d'instinct. :D

Merci pour le compliment.

Bon déja pour pas faire malpolis je vais dire un mot sur ce que vous avez mis (même si je ne suis pas du tout littéraire alors je ne me permettrais pas trop de commentaires de ce coté là )
Déja le texte de Hauru, il me touche beaucoups puisque tu parle de choses où le personnage principale éprouve une répulsion immense face à sa mère et je suis trés conscient de se sentiment ( vous le verrez en lisant mon texte aprés )
Et puis pour le texte de Queenpeepee, heu....bah je ne vois pas quoi dire ( c'est pas méchant ce que je dis ).

Bon voila mon texte, ou enfin plutôt une poésie trés personelle sur un sujet de base, l'affection, et...bah je sais pas trop comment décrire cela alors lisez par vous même. Désolé d'avance pour les fautes que j'ai pû laisser passer et puis pour la ponctuation que j'avouerais avoir négliger. Sachez aussi que je me suis déja bien amusé à faire des rimes :x :P sans avoir à me prendre la tête avec le nombre de syllabe alors du coup le texte est trés mal agencé je trouve. Embarassed

Je précise quand même pour pas que vous soyer destabilisées que vers la fin je parle pour moi aprés avoir parlé pour les dépendants affectifs en générales car je ne voudrais pas non plus généraliser mon cas, voila bonne lecture.

Affection

A la base de tout individu socialement bien muni
Lui assurant la bonne intégrité de son esprit
Ou pour d'autres l'aveuglement dont on ne souffre
De douleurs qu'alors nous passons outre

Notion tellement évidente d'assimilation
Que bien souvent quand on est laissé pour compte
La seule intention de vouloir en recevoir d'autrui
Ne nous laisse ressentir que la honte dont on a peur que l'on nous incendi

Sentiment tout a fait subjectif
Qui nous empéche totalement d'éspérer
Que ce lourd fardeau dont on est affublé
Puisse être porté par d'autre addictes

Addictes puisque notre comportement
Semblable à celui d'un drogué
Nous fait languire de ce quoi nous sommes dépendant
Et qui ne nous sert vis à vis des gens qu'a les insupportés

Dés lors, un horrible sentiment de culpabilité
Nous pousse à chercher dans les tréfonds de notre personnalité
Toutes les raisons capables de nous justifier
De ce que nous sommes en train de perpétrer

Cette quête sans fin
Nous plonge dans une solitude
Coulant dans nos veines comme un venin
Pour bientot finir comme un croyant habillé de sa chasuble

A force de regarder dans son reflet
On ne vois plus devant soi
Pour finalement laisser passer
La seule personne qui aurait pû nos redonner foi

Alors on essaye de se rattraper
Mais on redoute d'être rejeter par cette personne
Qui de doute façon ne nous accorde pas le droit d'espérer
Et qui de son rejet nous assomme

On voudrait simplement dire ses sentiments à l'être aimer
Mais la seule gène qu'éprouverais à la connaissance de ces derniers
La femme qui nous laissa l'enlacer
Nous empéche de les lui partager

Pourtant ce n'est pas faute de ne pas vouloir s'en contenter
Alors on se range et on s'invente des théories pour se consoler
Comme de se dire qu'à défaut d'être heureux nous en sommes conscient
Pas comme tous ces frustrés qui se croyent supérieurs en vous humiliant

Aprés cette expérience vécu dans la réalité
On ne se sent tellement plus vivant
Dans la vie abstraite qu'on avais jusqu'a présent
Qu'on s'estime déja mort et malgré tout poussé à avancer

Se souhait de vouloir se décrocher de cette réalité
Tout en y gardant les pieds dans l'espoir de se relever
Nous fait craindre de devenir aussi aliené
Que cette personne qui sois disant mieu que quiconque nous connait

Cette personne de qui la seule évocation du lien de parenté que nous en ayons
Nous répugne à tel point de nous jurer que jamais nous nous en approcherions
Cette personne qui s'estimant déja bien bonne de nous donner la vie
Ne s'est apparement pas donné la peine de nous apporter ce qui nous aurait suffis

Et si alors ce que je recherchais n'étais que cette éducation maternelle
Une éducation censée me désensibiliser de ce qui me fais souffir aujourd'hui
Seulement tous ce dédain que j'ai accumulé envers elle
M'empèche d'aspirer un jour à la vie

Alors je m'éduquerais moi même comme je l'est toujours fait
Fier de cette pensée qui j'espère fait ma singularité
Car je ne peu souhaiter autant de tourments
A qui compte même la pire des personnes malfaisantes

Et enfin j'oserais l'espérer mais le soutiens et la fierté
Que je souhaiterais avoir le droit de voir se refleter
Aux travers des yeux de certaines personnes qui je l'espère se reconnaitront
M'empliraient de toutes la volonté dont j'ai besoin pour ne pas partir à reculons

Tout cela fait beaucoups d'espoirs et de suppositions
Mais je ne peu pas m'imposer
Alors je m'en remet à leurs bonnes volontés
En espérant que mon message soit bien passé ainsi que tout son aplomb

Et au fait j'y pense, j'ai une citations de moi dans ma signature, alors c'est l'occase de le faire remarquer, dite m'en ce que vous en pensez.

Dernière chose, si vous avez aimé mon style ou mon vocabulaire ou je sais pas quoi encore Cool

:P , je rappelle que j'ai laisser une réponse dans un topic "7 mois quand même!!!" dans la rubrique "coups de pêches" et j'ai des textes dégoulinant de sincérité et de sentiments pour ceux que ça intéresse, alors laisser une réponse si vous voulez que je les publis, merci. (je dis ça parce que j'ai l'impression qu'on m'a mit un vents quand je demandais si ça intéressait quelqu'un et j'aime pas me prendre des vents :x :P )

"Pour le texte de Zanshin, heu....bah je ne vois pas quoi dire ( c'est pas méchant ce que je dis )." :D
Non, je plaisante. Critique à chaud: je trouve qu'il y a beaucoup d'amertume dans ton texte, c'est triste mais c'est là d'où vient son intérêt.
Pour les rimes y'en a des bonnes mais pour d'autres j'ai l'impression que tu as ramé (t'as dû tourner les phrases d'une certaine façon, ça fait Yoda). Mais c'est pas négatif, je trouve ça sympa, ça a un côté ingénu, vulnérable qui reflète le fond de ton texte.

Puis comme j'aime le dire: un livre, une musique ou un film se lit, s'écoute ou se regarde mais ne se critique pas.

Si j'm'attendais à être intéressant parce que je suis amer.... :P
J'confirme que j'ai ramé, il me semble que j'ai commencé à 00h30 et puis bah voyais par vous même la date de publication du message :P

» AVIS aux jongleurs-cameramen-amateuristes ^^